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cake
Cake day: 2023年6月15日

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  • I participate in a lot of real world communities that are more horizontally organized and many do have a similar dynamic, but a key difference is that there are many levels of involvement and the more involved you become, the more influence you have.

    Thing is, on the fediverse, one should not confuse involvement with the act of using it. Involvement means participating in communities moderation and running servers. If mods of a 100 users community come to slrpnk.net saying “you know, hexbears users have been really helpful in setting up the /c/solarpunkbigepicstoryline” they will have a saying. But a random user that may be a bot or the alt of a banned troll is certainly not going to get the same weight.

    In theory we could vote, but there is a technical impossibility: organizing reliable anonymous votes online is simply not possible.

    Mods have a bit of authority but rarely have any process for weighing the views of individual users

    Indeed, they have more of an editor power: they make editorial decisions, subjectively listen to feedbacks and see how their communities evolve.

    The difference between these is pretty large in terms of skill and time required, and it’s quite difficult to move between them.

    In terms of skills, a mod is a regular user, that’s it. And time requirements can vary, but being part of a decently sized mod team is not a huge time commitment. Thing is, I feel it fair to say that people willing to put extra effort in community managements should not necessarily feel forced to take into account the decisions of everyone not willing to do it.

    I mean, if I offer a free service because I believe in volunteer work and gift economy, and users vote to complain that it lacks a feature that would double my amount of work (like federation with known toxic communities), I think it is fair for me to deny it.

    If I were offering a paid service and getting a wage from it, the dynamics would be different. We are too used to corporate systems where the crucial resource is money, and paid users satisfaction is the most important. In FOSS, the crucial ressource is devs/volunteers motivation, and anything that increases it is what you want to maximize.

    (disclaimer: it is a hypothetical, I am not running any lemmy instance)


  • I like thinking of the fediverse as a do-ocracy rather than a democracy: people who do the hard work get the say. Volunteer moderators that have to sweep the sewers of comments are the ones to decide what to defederate. If I am unhappy with some decisions, I may start my own instance, which is actually relieving some work from the other volunteers and making the overall ecosystem more resilient.

    Opinionated moderation decisions are a feature I feel.



  • Le PS tente de jouer le jeu du parlementarisme. Soit qu’ils y croient, soit qu’ils souhaitent montrer à quel point le centre est incapable de céder la moindre chose. Même sans résultat concret, je trouve ça utile. Sans ça, au lieu de parler de la taxe Zucman (qui a défaut d’être adoptée, a progressé dans l’opinion) on aurai juste eu droit aux thèmes du RN sur la criminalité des migrants et l’AME.

    Donc pas de budget 2026 voté parle parlement ?

    Tel que c’est parti c’est sûrement une répétition de ce à quoi on a eu droit l’année dernière: censure du gouvernement, loi d’urgence pour autoriser le gouvernement à continuer les paiements en l’absence d’un budget et loi “rectificative” (budget en retard en fait) au début de 2026. Mais en fonction du nombre de personnes qui veulent jouer aux pyromanes, on pourrait bien avoir un budget par ordonnances, pas sur que même une loi d’urgence passerait dans les circonstances actuelles.



  • notamment par le mode EDL/QDL du processeur de Qualcomm

    J’ai eu des échos d’un ingé qui bosse pour une boite obligée de passer par Qualcomm, et il m’a dit que niveau contrôle propriétaire, ce sont vraiment des rats qui verrouillent plein de trucs par contrat dés que tu utilises leur hardware. Je ne serais pas surpris que ce soient eux qui imposent un prestataire unique et identifié.

    C’est le problème de quand on tente de faire avance le open hardware: c’est tellement à l’opposé des pratiques des gros acteurs que t’es obligé à un moment de faire des compromis. Le fairphone est déjà plus gros et plus cher que la concurrence, tout en restant plus ouvert et plus réparable.

    Je veux bien fouiller un peu la critique autour des fairphone, mais je connais des gens qui ont installé des OS alternatifs sur les leurs, y a des possibilités.

    Un droit à la réparation de façade, entravé par un monopole technique et commercial.

    Là aussi y a du compromis. Tu peux changer plein de choses dans le téléphone sans bousiller la garantie. Y a des choses pour lesquelles, par contre, c’est inévitable de mettre des contraintes. Un changement d’écran par exemple, c’est très difficile à faire parfaitement si t’es pas un peu expérimenté et que t’as pas les bons outils.













  • C’est dur ce genre d’articles, j’évite en général de me les infliger.

    Mais je peux pas m’empêcher de réagir sur la partie technique. Y a rien qui va:

    Pour accéder aux photos grisées découvertes dans les conversations Skype de ce téléphone sans carte SIM, il est nécessaire de connecter l’appareil à internet. Mais le commissariat de Carpentras, à l’époque, n’est pas équipé du wifi. Laurent Perret se positionne alors à la fenêtre de son bureau pour capter le réseau de l’hôtel en face. Sur les premières photos apparaissent des jeunes filles de 16 à 18 ans, endormies et attachées “style sado-masochiste”.

    Puis “d’un seul coup, je me rends compte que la première conversation disparaît et que la deuxième conversation disparaît. Tout de suite, je coupe le wifi et je mets le téléphone en mode avion”. Le policier comprend que Dominique Pelicot est en train d’effacer des données à distance. Il faut réagir vite et figer les messages pour ne pas qu’ils disparaissent. Les téléphones sont alors envoyés à une unité spécialisée en cybercriminalité pour éviter la perte de preuves.

    Donc si je comprends bien, si le commissariat avait eu le wifi, si ce policier avait lancé son enquête le jour d’après, toutes les preuves disparaissaient? Bravo à sa présence d’esprit, mais on en est vraiment à ce niveau de sous-équipement et d’impréparation chez les personnes qui “exploitent” les téléphones?