• 2 Posts
  • 25 Comments
Joined 1 year ago
cake
Cake day: June 5th, 2023

help-circle

  • nitneroc@lemmy.onetoAsklemmy@lemmy.mlDo you say Linux or GNU/Linux?
    link
    fedilink
    arrow-up
    28
    arrow-down
    5
    ·
    3 months ago

    I’d just like to interject for a moment. What you’re referring to as Linux, is in fact, GNU/Linux, or as I’ve recently taken to calling it, GNU plus Linux. Linux is not an operating system unto itself, but rather another free component of a fully functioning GNU system made useful by the GNU corelibs, shell utilities and vital system components comprising a full OS as defined by POSIX. Many computer users run a modified version of the GNU system every day, without realizing it. Through a peculiar turn of events, the version of GNU which is widely used today is often called “Linux,” and many of its users are not aware that it is basically the GNU system, developed by the GNU Project. There really is a Linux, and these people are using it, but it is just a part of the system they use.

    Linux is the kernel: the program in the system that allocates the machine’s resources to the other programs that you run. The kernel is an essential part of an operating system, but useless by itself; it can only function in the context of a complete operating system. Linux is normally used in combination with the GNU operating system: the whole system is basically GNU with Linux added, or GNU/Linux. All the so-called “Linux” distributions are really distributions of GNU/Linux.







  • That’s exactly what I said, each side of the bridge has its own encryption standard (or no encryption at all).

    The encryption could be as solid as possible, the problem would remain unchanged: to bridge messages between two services that are not interoperable, you need to decrypt them at some point.






  • Ah oui je comprends complément que l’ortholinéaire soit un frein, j’ai mis pas mal de temps à m’y faire aussi. Et le problème aussi c’est qu’une fois l’habitude prise on tape tout le temps à côté sur un clavier classique :p

    D’un autre côté j’avais jamais vraiment “appris” à taper avant d’acheter mon premier clavier ortho, et j’ai décidé de prendre des touches vierges pour me forcer à apprendre le touch typing. Je regrette vraiment pas parce que j’ai doublé ma vitesse de frappe et j’ai plus ce genre de galère à trouver le bon set pour le bon nombre de touches avec la bonne langue :)

    Ortholinéaire ou pas, je recommande vraiment les touches vierges




  • Alors niveau prix à la louche c’est :

    • ~35€ pour le kit avec le PCB + tous les composants qui y sont soudés
    • 5€ par Arduino (1 par côté pour un Split, un seul pour un clavier classique)
    • 20-30€ pour les touches
    • 20-30€ pour les switches
    • 5-10€ de câbles
    • 5-10€ de suppléments divers (encodeurs rotatifs ou autre)
    • 1-2€ de plastique pour la coque si t’as une imprimante 3d, ~20€ sinon

    Tout ça est bien sûr modulable du simple au double selon les marques et où tu te fournis. Il faut aussi rajouter ~20€ de frais de ports des différents sites qui sont pas forcément basés en Europe…

    Après pour du sur-mesure il faut plus ou moins de compétences variées : design électronique, design 3D, programmation, etc.

    En tout je dirai que ça m’a pris entre 10 et 20h de conception, et trois prototypes de plaques avant d’arriver au design final. Mais j’ai juste rajouté une touche, pour faire un clavier custom de A à Z je pense qu’il faut compter beaaauuuucoup plus de temps et d’itérations.

    Si tu veux commencer dans le monde du clavier mécanique, je recommande vivement l’achat d’un kit complet à monter, ça permet déjà de se familiariser avec les différents composants et la programmation. Niveau budget c’est à peu près pareil (de mémoire j’avais payé mon précédent clavier ~120€, pour un olkb Planck 42 touches), donc ça vaut pas forcément le coup de se lancer dans un projet comme ça dès le début.



  • Je suis enfin venu à bout de mon clavier custom ! Je l’ai appelé le Unicorne, c’est un Aurora Corne avec une touche en plus, destinée à la paume des mains.

    2023-09-25-13-48-58-022

    Pour les novices, c’est un clavier mécanique basé sur un système libre qui s’appelle QMK, qui permet de programmer chaque touche de son clavier comme on veut. On peut bien sûr mettre n’importe quelle disposition mais aussi et surtout faire des choses très intéressantes comme des couches qui permettent de changer complètement la disposition à l’appui d’une touche (par exemple, si j’appuie sur une des touches du pouce gauche, les flèches directionnelles deviennent disponibles à droite). Ça permet notamment d’avoir des claviers plus ergonomiques avec moins de touches.


  • Excuse moi pour l’attaque, c’était pas correct.

    Ce que je voulais dire c’est qu’en ayant vécu la quasi totalité de ma vie en campagne et en ayant des copains de plusieurs autres endroits de campagne en France je vois quand même que beaucoup de gens restent attachés à la culture locale.

    Ici des gens prennent des cours d’occitan, des vieux mais aussi des jeunes. Certes ils représentent pas la majorité, donc non les moins de 30 ans parlent pas aussi bien l’occitan que la génération d’avant, mais l’attachement à la culture existe bel et bien.

    Et oui les jeunes partent faire leurs études en ville, c’est inévitable. Mais c’est pas pour ça qu’ils se détachent. Tous mes potes qui sont restés en ville après leurs études rentrent toujours chez leur parents de temps en temps et sont bien contents d’y retrouver leurs racines.

    Mon but est pas de dire que la culture se perd pas, je suis complètement d’accord avec ça. Et justement c’est bien ça le problème, c’est que la culture se perd en grande partie à cause de l’interdiction des langues régionales qu’il y avait à une époque, et plus récemment à cause du mépris envers le peu de gens qui ont continué à les parler.

    Si il fallait ne garder que les langues que le plus de gens parlent on parlerait tous anglais. Et on perdrait toute la culture rattachée à la langue française, l’origine des noms de lieux, les expressions, etc.

    Personne a envie de ça et pourtant c’est ce qui est arrivé avec les langues régionales.