Une nouvelle étude isotopique des dents d'Australopithèque, parue dans Science, affirme que nos très probables ancêtres devaient avoir un régime alimentaire plutôt végétarien.
Le problème avec les humains c’est quand même que :
on peut pas les mettre tous dans une machine à radiations pour obtenir des mutations intéressantes (on fait ça pour les plantes et bactéries)
la population est immense et assez bien mélangée, donc peu de dérive génétique
la durée de vie de chaque individue est grande, là où d’autres espèces vont beaucoup plus vite (drosophiles, bactéries, etc.)
la présence d’un organe qui est spécialisé dans l’adaptation, avec des mécanismes d’apprentissage sophistiqués (le cerveau), qui créé une sorte de tampon partiel entre pressions de l’environnement et gènes (non pas que ça annule toute sélection), rendant compliqué les liens causaux entre gènes et comportements
Le problème avec les humains c’est quand même que :