Le dernier arc de Hunter x Hunter, est tellement illisible que je pense qu’il s’agit d’un test de résistance de l’auteur envers ses fans. Mais bon j’attends quand même la suite avec impatience, c’est une sorte de perversion masochiste je crois
Le dernier arc de Hunter x Hunter, est tellement illisible que je pense qu’il s’agit d’un test de résistance de l’auteur envers ses fans. Mais bon j’attends quand même la suite avec impatience, c’est une sorte de perversion masochiste je crois
Ça peut matcher avec ton envie d’enculer le patronat si c’est un roman erotico-bolchevick
(PS: pardon de blaguer avec une situation qui a l’air d’être un vrai souci pour toi, mais je n’ai pas pu résister, j’espère que ça te fera plutôt rire)
Je me refais l’intégrale de Lost (parce que j’ai une connaissance qui sort un livre sur le sujet) A chaque épisode mon mec me rappelle comment finit la série et ça donne quelque chose d’assez intéressant en fait !
Donne toi comme dead ligne pour écrire quelque chose la dead ligne que tu as pour accepter le poste ???
Que les media soient anti-trump tout le monde est ok, c’est la suite qui est complètement pété, tu crois vraiment que c’est une démonstration implacable ?
Accorder une grande importance aux marqueurs sociaux ( téléphone, fringues, jouets a la mode pour les gosses…) c’est tout a fait logique quand on a un statut social bas.
Ah ah, tu m’as mal comprise, je ne change pas de boulot ! J’adore mon travail dans la création et tant que j’arrive à en vivre je ne suis pas prête à laisser tomber. Je fais partie d’un collectif d’artistes, je bosse quasiment en auto prod et on monte des collectifs de compagnies pour gérer des cours dans les festivals promotionnels ( Aurillac, Châlons) Du coup quand on m’a branchée sur un projet de supermarché collectif, j’ai plongé bien évidemment. Donc voilà, c’est justement le financier qui tranche ce qui est prioritaire ou pas, le temps c’est de l’argent. Mais il y a aussi un autre point très important c’est savoir si le projet te donne de l’energie en retour ou au contraire ne fait que de te pomper.
Le projet de supermarché est vraiment vraiment passionnant et comme justement je n’ai pas de projet de salariat cela me permet de mettre le stop des que cela empiète de trop sur mes engagements pro, ma vie de famille ou mon moral car les désillusions sont nombreuses.
Reste a gérer sa frustration d’abandonner certaines choses où l’on a investi beaucoup, mais d’une manière générale si une bonne idée n’a ni écho ni relais au sein du collectif, c’est souvent que ce n’est juste pas le bon moment.
C’est bien pour cela qu’il y a aussi des salariés, car pour tenir le tout il faut bien qu’il y ai aussi un groupe de personnes qui donnent (beaucoup) plus que trois heures. Je ne suis pas pour l’exploitation de soi par soi, je bosse dans le milieu du spectacle donc je connais bien le problème. Et je suis complètement d’accord avec toi pour le revenu universel ( un vrai, on est bien d’accord)
Je participe au montage d’un supermarché cooperatif et ça me fait bondir de lire des commentaires comme ça.
Donc non, les supermarchés coopératifs ne participent pas a l’uberisation de la société.
Je participe actuellement au montage d’un supermarché cooperatif, et je peux te garantir qu’il n’y a aucune redistribution des dividendes. L’ensemble des bénéfices va a des baisses de marges, des investissements dans le magasin ou possiblement un don a une association . L 'AG rassemblant l’ensemble des coops ( une personne=une voix) le décide.
Justement, l’article parle d’un impôt mondial. Impossible d’y échapper donc, a moins de partir sur mars. Enfin bon ça ressemble de toute façon a de la science fiction
C’est ce que j’appelle avoir le beurre et l’argent du beurre ! Je serai bien curieuse de savoir comment ça pourrait fonctionner, car ça semble juste complètement irréaliste, non?
“Perso ce que j’aimerais voir c’est une sorte de “magasin général” où les adhérents/sociétaires/subventionnés pourraient prendre ce dont ils ont besoin sans payer. Il y aurait des quotas pour limiter les abus, mais ils seraient largement au dessus de la conso moyenne d’un foyer. Ce serait des produits de première nécessité, insuffisants pour remplir un frigo médian mais assez pour survivre: huile, pates, farine, riz… Ceux qui ont les moyens compléteraient vraisemblablement avec du supermarché et utiliseraient assez peu ce qu’on y trouve, mais les plus pauvres auraient la possibilité de vivre quasiment exclusivement avec ce contenu. Et petit à petit, on enrichit le catalogue.”
En fait, ça existe déjà avec les épiceries solidaire, les épiceries autogérées et les supermarchés coopératif. Mais on ne peu pas avoir le beurre et l’argent du beurre ( c’est le cas de le dire).
Subventionnés: Les épiceries solidaires
Elles sont réservées uniquement aux personnes orientés par les travailleurs sociaux, leur stock provient de dons , vendu à prix cassé entre 10 et 30% de leur prix dans le commerce. Mais on reste dans l’aide sociale avec tout ce qui va avec.
https://www.aide-sociale.fr/epiceries-sociales/
Adhérents: Les épicerie autogérées
Ce sont des initiatives citoyennes auto-organisée et qui se revendiquent d’une totale horizontalité. Elles fonctionnent sur un système d’adhésion ( loyer, charge, frais) puis chacun provisionne son compte de manière libre sur le principe du crédit positif. Les produits y sont vendu à prix coutant, sans marge. Mais les produits qu’on y trouve sont principalement des produits bio/locaux, car ce type de structure est trop petite pour avoir accès à des grossistes.
Sociétaires: Les supermarchés coopératifs
Ce sont également des initiatives citoyennes auto-organisées mais ou 20% de la gestion repose sur une équipe de salariés. Elle s’inspirent directement de la Park Slope food de New-york modèle perenne depuis 1973. Les clients-coopérateurs possèdent tous des parts du magasin et s’engagent à donner de leur temps à raison de 3h par mois. Le catalogue se veut être une offre la plus complète possible avec des produits bio/locaux mais également du conventionnel et le travail avec des grossistes. Les produits sont vendu avec une marge unique autour de 20% ( loyer, charges, frais, salaires). Tout les bénéfices sont directement réinvestis dans le magasin. Les supermarchés coopératif ont pour objectif une transformation systémique, quand les épiceries auto-gérée s’inscrivent plutôt dans l’expérimentation politique et sociale.
La Cagette supermarché coopératif de Montpellier est ainsi très actif dans l’expérimentation en cour de sécurité sociale de l’alimentation.
Il y a quelques années j’étais a Paris dans le 15e et je me rend compte que je n’ai plus de briquet. J’étais embêtée parce qu’il n’y avait pas grand monde et encore moins de fumeurs a la ronde. Là je vois un SDF, donc je m’approche de lui " Bonjour monsieur, excusez-moi de vous déranger, mais vous n’auriez pas du feu s’il vous plaît ?" . Le type a fait de grands yeux et m’a répondu “oui bien sûr” . J’ai allumé ma clope, je lui est rendu son briquet et je l’ai remercié en lui souhaitant une bonne journée et il a fait de même avec un grand sourire. Ça a été un moment très spécial et un peu magique avec l’impression d’avoir complètement changé le réel pour quelques instants. Je ne sais pas si ça compte pour un flex mais quelque part j’étais drôlement fière de moi.